Nous faisons une pause au Conseil des ministres, où nous discutons des moyens de contrer une nouvelle envolée des prix de l’énergie. Bruxelles, en effet, prévoit d’interdire l’importation de pétrole et de gaz russes en Hongrie. La guerre russo-ukrainienne et les sanctions mal conçues ont déjà propulsé les prix de l’énergie à des sommets partout en Europe, et voilà qu’à cela s’ajoute la crise au Proche-Orient. L’avenir de l’industrie européenne est donc gravement menacé. Dans une telle situation, imposer de nouvelles restrictions et de nous priver des sources d’énergie bon marché russes serait une irresponsabilité totale. Rien, du point de vue des entreprises européennes, de notre industrie ou des familles, ne justifie de nous priver de l’accès à une énergie abordable. La vérité, c’est qu’il n’y a qu’une seule raison à cette manœuvre des bureaucrates bruxellois : ils veulent poursuivre la guerre en Ukraine. En début de semaine, nous avons déjà tiré le frein à main à Bruxelles, mais aujourd’hui encore, les bureaucrates bruxellois reviennent à la charge avec de nouveaux plans. Actuellement, nous mettons au point les contre-mesures appropriées.
More news